Edité par A Amsterdam, Aux dépens de la Compagnie, 1752., 1752
Vendeur : Librairie Le Jardin des Muses, Blangy le château, NORMA, France
Membre d'association : ILAB
EUR 150
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Assez bon. In-12 de 378pp., (1)f. Reliure pleine basane marbrée de l'époque, dos à nerfs orné, pièce de titre, tranches rouges (mors inf. fendu). Exemplaire sans le frontispice. Urbain Grandier fut accusé de sorcellerie et brûlé vif en 1634.
Edité par Paris, Chez Debure l'Ainé, 1747
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
EUR 250
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. 1ère Édition. In 12°, de XXIX ; 521 pp. ; 6 pp. catalogue des livres chez Debure. coiffes inférieures et supérieures émoussées, autrement très bel exemplaire. L'auteur M. De La Menardaye a composé cette discussion critique " sur tous les mémoires imprimés ou manuscrits que les bornes du temps lui ont permis de rechercher dans les bibliothèques & ailleurs ". Il a aussi préféré la forme d' entretien, " ainsi les interlocuteurs sont un Oncle nommé Philalethes c'est à dire amateur de vérité & son neveu Néocrite, jeune homme dont le jugement n'est pas encore formé. ". "Fort curieux traité critique sur l'une des plus célèbres possessions dont il soit fait mention dans l'histoire de la sorcellerie en France." Guaïta n°644. Le père Urbain Grandier (1590-1634) fut accusé de sorcellerie dans l'affaire des possédées de Loudun et condamné au bûcher en 1634. À la fin du XVIe siècle et début du XVIIe siècle, Loudun, place protestante, catholiques et protestants se partagent la cité. Urbain Grandier est nommé à vingt-sept ans curé de l?église Saint-Pierre-du-Marché et chanoine de l?église Sainte-Croix de Loudun, dans le diocèse de Poitiers en 1617. Cultivé et libertin - « il avait de grandes vertus mais accompagnées de grands vices, humains et néanmoins naturels à l'homme » (Boulliau) ; il est l'auteur du pamphlet le Traité contre le célibat des prêtres, alors que l' Église catholique mène sa Contre-Réforme. Il s'oppose à Richelieu qui veut détruire les murailles de la ville. D'innombrables machinations, manipulations politiques s'ensuivront contre le père Grandier. En 1632, dans un couvent d'Ursulines à Loudun, les soeurs affirmèrent voir des fantômes et avoir été ensorcelées par le curé Urbain Grandier. Ce dernier avait publié un pamphlet violent contre Richelieu. La tolérance d'Urbain Grandier envers les protestants et ses critiques jouèrent en sa défaveur. Un procès en sorcellerie fut instruit à la demande de Richelieu. Accusé d'avoir pactisé avec le diable, le prêtre Urbain Grandier fut condamné à mort, torturé et brûlé le 18 août 1634. Il jura toujours être innocent. (Barbier II, 7846; Brunet III, 194). L?affaire des démons de Loudun, aussi appelée affaire des possédées de Loudun, s'inscrit dans la grande vague des possessions démoniaques, et suscita une abondante littérature polémique.
Edité par Everard Kintz, 1749
Vendeur : La Fontaine d'Aréthuse, GENTILLY, France
EUR 380
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Ajouter au panierLivre relié. Etat : Bon état. Examen, et discussion critique de l'histoire des diables de Loudun, de la possession des religieuses ursulines, et de la condamnation d'Urbain GrandierLiège, Chez Everard Kintz, 1749, in-12, plein vélin moderne, dos lisse, XXX, 522 pp. et 6 pages de catalogue des livres qui se vendent à Paris chez Debure l'ainé. Petites restitutions angulaires de papier à la page de titre et dizaine de feuillets. Bon exemplaire cependant, grand de marges et exempt de rousseurs.Rare seconde édition. Guaïta 644 pour l'édition de 1747 : « L'un des ouvrages les plus rares sur les possédées de Loudun ».Manque à Dorbon. Yves-Plessis 1327. Caillet 6032.Dujols n° 281, cat. XI, 1910 pour l'édition de 1747 : « (très rare) L'un des ouvrages les plus intéressants et les plus rares sur les Possédées de Loudun, l'une des plus célèbres possessions dont il soit fait mention dans l'histoire de la Sorcellerie. ».
Edité par Etienne Roger, 1716
Vendeur : Librairie Romain Goure, Montrond-les-Bains, France
EUR 395
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Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Bon. [AUBIN (Nicolas)]. Cruels effets de la Vengeance du Cardinal de Richelieu, ou Histoire des diables de Loudun, de la Possession des religieuses ursulines, Et de la condamnation & du suplice (sic) d'Urbain Grandier, curé de la même ville. Amsterdam, Etienne Roger, 1716 ; in-12, plein veau glacé, dos à nerfs orné, tranches rouges (reliure de l'époque). 1 f. bl., 4 ff. (avertissement), 378 pp., 3 ff. Frontispice représentant Urbain Grandier devant ses juges. Nouvelle édition (l'originale date de 1693) de cet ouvrage publié anonymement par Nicolas Aubin, pasteur protestant né au milieu du XVIIe siècle et émigré en Hollande après la révocation de l'édit de Nantes. Il est consacré à l'affaire des possessions de Loudun, survenu au début des années 1630, et durant lequel des nonnes, affirmant être possédées par des forces démoniaques, se répandirent en imprécations à l'endroit d'Urbain Grandier, l'accusant notamment d'avoir pactisé avec le diable. L'affaire parvint aux oreilles attentives de Richelieu, qui s'en servit pour faire condamner l'abbé, le suspectant de dangereuses accointances avec les Protestants. Après avoir refusé de reconnaître les crimes qui lui étaient reprochés sous la torture, Grandier fut brûlé vif le 18 août 1634. Complet de l'avertissement et de la pièce en vers in-fine signalés par Dorbon. Dorbon, 159 (notre édition). Caillet, 508-510 (autres éditions). Dos légèrement craquelé, coiffe arasée, menus frottements aux mors, premier mors fendillé en partie haute, un coin percé, intérieur frais.
Edité par Paris, Chez Debure l'Ainé, 1747., 1747
Vendeur : Les Mots, Poissy, France
Edition originale
EUR 400
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Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Très bon. 1ère Édition. In 12°, de XXIX ; 521 pp. ; 6 pp. catalogue des livres chez Debure. Reliure en basane marbrée, sur le plat recto 2 restaurations aux coiffes côté mors. Dos lisse avec une marque verticale de pliure sur le cuir, orné, titre rouge de tomaison. Pourtour frotté.Tranche rouge. L'auteur M. De La Menardaye a composé cette discussion critique " sur tous les mémoires imprimés ou manuscrits que les bornes du temps lui ont permis de rechercher dans les bibliothèques & ailleurs ". Il a aussi préféré la forme d' entretien, " ainsi les interlocuteurs sont un Oncle nommé Philalethes c'est à dire amateur de vérité & son neveu Néocrite, jeune homme dont le jugement n'est pas encore formé. ". "Fort curieux traité critique sur l'une des plus célèbres possessions dont il soit fait mention dans l'histoire de la sorcellerie en France." Guaïta n°644. Le père Urbain Grandier (1590-1634) fut accusé de sorcellerie dans l'affaire des possédées de Loudun et condamné au bûcher en 1634. À la fin du XVIe siècle et début du XVIIe siècle, Loudun, place protestante, catholiques et protestants se partagent la cité. Urbain Grandier est nommé à vingt-sept ans curé de l?église Saint-Pierre-du-Marché et chanoine de l?église Sainte-Croix de Loudun, dans le diocèse de Poitiers en 1617. Cultivé et libertin - « il avait de grandes vertus mais accompagnées de grands vices, humains et néanmoins naturels à l'homme » (Boulliau) ; il est l'auteur du pamphlet le Traité contre le célibat des prêtres, alors que l' Église catholique mène sa Contre-Réforme. Il s'oppose à Richelieu qui veut détruire les murailles de la ville. D'innombrables machinations, manipulations politiques s'ensuivront contre le père Grandier. En 1632, dans un couvent d'Ursulines à Loudun, les soeurs affirmèrent voir des fantômes et avoir été ensorcelées par le curé Urbain Grandier. Ce dernier avait publié un pamphlet violent contre Richelieu. La tolérance d'Urbain Grandier envers les protestants et ses critiques jouèrent en sa défaveur. Un procès en sorcellerie fut instruit à la demande de Richelieu. Accusé d'avoir pactisé avec le diable, le prêtre Urbain Grandier fut condamné à mort, torturé et brûlé le 18 août 1634. Il jura toujours être innocent. (Barbier II, 7846; Brunet III, 194). L?affaire des démons de Loudun, aussi appelée affaire des possédées de Loudun, s'inscrit dans la grande vague des possessions démoniaques, et suscita une abondante littérature polémique. Rare édition originale.
Edité par A Amsterdam, Aux dépens d'Etienne Roger, chez qui l'on trouve un assortiment général de Musique, 1716, 1716
Vendeur : L'Oeil de Mercure, Paris, France
EUR 450
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Bon. Frontispice, page de titre (1) 378 pp (3). In-12 en plein veau brun dos à cinq nerfs, pièce de titre, mors supérieur fendu dans sa partie basse, page de titre bicolore, taché d'encre. La possession du couvent des Ursulines de Loudun est le 2è cas d'infection démoniaque relevé dans une communauté religieuse. La violence de ces manifestations provoqua la stupeur et la curiosité morbide de la classe dirigeante : cette fois-ci, le diable s'attaquait directement aux filles de la noblesse et à l'institution religieuse. Vinrent se mêler à cela des enjeux politiques opposant le pouvoir central aux prétentions d'indépendance de certaines cités. Ce mélange détonant aboutit à la destruction des fortifications de la ville, au supplice et mise à mort sur le bûcher d'Urbin Grandier. Le retentissement de la possession des Ursulines de Loudun eut des conséquences inattendues ; le pouvoir de l'inquisition venait en effet de frapper le cur de la noblesse, en s'attaquant au pouvoir et à l'institution religieuse, elle se condamnait elle-même. Livre d'occasion.
Edité par Liège, Chez Everard Kintz, 1749., 1749
Vendeur : L'intersigne Livres anciens, Saint Xandre - La Rochelle, France
Membre d'association : ILAB
EUR 750
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierCouverture rigide. Etat : Très bon. in 12, de XXIX-521pp., pl. veau moucheté époque, dos orné, bon exemplaire. (tampon ex-libris Michel Collée) Seconde édition parue à Liège de l'un des plus rares ouvrages sur l'affaire de la possession de Loudun. Il recense dans la préface les ouvrages imprimés ainsi que les manuscrits sur le sujet. Caillet n°6032: "Fort curieux traité critique sur l'une des plus célèbres possessions dont il soit fait mention dans l'histoire de la sorcellerie en France." - Guaïta n°644 (édit. orig.) "L'un des ouvrages les plus rares sur les possédées de Loudun" - Manque à Dorbon - Yves-Plessis n°1327.
Edité par Aux depens de la Compagnie, 1740
Vendeur : Schilb Antiquarian, Columbia, MO, Etats-Unis
EUR 680,80
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierHardcover. Etat : Near Fine. 1740 Loudon Devils Demon Possessions Witchcraft Exorcism Occult Grandier Sorcery Cruel Effects of Diabolic Possession is a famous work on the accused demon possession of Ursuline nuns, now known as the Loudon Possessions. Jean Mignon, the nun s confessor, made a plan for the nuns to fake being possessed and denounce Urbain Grandier, who was accused of summoning evil spirits. Nicolas Aubin s account of this 17th-century event covers the topics of witch burning at the stake, exorcisms, torture, accusation of sorcery, and flagellation. Item number: #24121 Price: $750 AUBIN, Nicolas Histoire des diables de Loudun; ou, De la possession des religieuses ursulines, et de la condamnation & du suplice d'Urbain Grandier Amsterdam: Aux depens de la Compagnie, 1740. Details: Collation: Complete with all pages o [12], 5-378 o Includes engraved frontispiece Language: French Binding: Leather; tight and secure Size: ~6.75in X 3.75in (17cm x 9.5cm) Our Guarantee: Very Fast. Very Safe. Free Shipping Worldwide. Customer satisfaction is our priority! Notify us with 7 days of receiving, and we will offer a full refund without reservation! 24121 Photos available upon request.
Vendeur : Fronhofer Schlösschen Galerie, Burgsinn, Allemagne
EUR 230
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierAmsterdam, Aux Dépens de la Compagnie, 1752, in-12 de 378-(2) pp., rel. d'ép. de plein veau brun, dos lisse orné de fers dorés (un peu usés, pièce de titre de chagrin vert, coiffe supérieure manquante, cette édition comporte un frontispice qui manque parfois, il ne semble pas avoir été relié ici, bon ex. Edition la plus complète selon Caillet, 510, de ce fameux ouvrage sur le procès de sorcellerie d'Urbain Grandier, qui fut brûlé vif à Loudun en 1634.
Vendeur : Librairie de l'Univers, Lausanne, Suisse
EUR 397,41
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panierA Liège, chez Everard Kintz, libraire [Paris, De Bure], 1749. Un volume in-12° (105 x 170 mm) de XXIX+[1bl]+521+[1] pages. Reliure de l'époque, anciennement restaurée, en pleine basane marbrée, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges. Seconde édition, après celle officiellement publiée sous le nom de De Bure à Paris en 1747. En 1632, le curé Urbain Grandier (1590-1634) fut impliqué dans la scandaleuse affaire des possédées de Loudun et condamné au bûcher pour avoir fait un pacte avec le diable et envoûté les religieuses du couvent des Ursulines, dont il était le directeur spirituel. En 1693, le ministre protestant Nicolas Aubin, natif de Loudun et pour lors réfugié en Hollande, publia à Amsterdam une «Histoire des diables de Loudun, ou de la possession des Ursulines, et de la condamnation et du supplice d'Urbain Grandier, curé de la même ville», Amsterdam, Abraham Wolfgang, 1693, souvent rééditée, notamment en 1735, 1737, 1740 et 1746. Il y défendait la thèse qui prévaut toujours actuellement que le brillant et remuant curé Grandier avait été victime d'un procès politique, orchestré par Richelieu. A l'inverse, le prêtre Oratorien La Ménardaie soutint fermement dans son ouvrage la réalité du pacte diabolique et de la possession. Sa démonstration prit la forme d'un dialogue entre Philalèthes (Ami de la vérité) La Ménardaie lui-même et son neveu Néocrite (Nouveau juge), qui avait apprécié le livre d'Aubin récemment réédité. L'ouvrage de La Menardaie fut le dernier où l'on ait osé défendre la thèse de la possession. «Ce qui peut être encore plus étrange, c'est que dans notre siècle, où la raison semble avoir fait quelques progrès, on a imprimé, en 1749, un Examen des Diables de Loudun, par M. Menardaie, prêtre. Et dans cet examen on prouve, par plusieurs passages des cas de Pontas [Jean Pontas (1638-1728): «Dictionnaire des cas de conscience», 1715], que Grandier avait en effet mis quatorze diables dans le corps de ces quatorze nonnes, et qu'il mourut possédé du quinzième. M. de Menardaie, prêtre, n'était pas sorcier». (Voltaire: «Prix de justice et de l'humanité», 1777, article IX, Des sorciers). Quérard IV, 442: «Impression parisienne revêtue d'une fausse adresse»; De Guaita, no 1512: «fort curieux traité critique sur l'une des plus célèbres possessions dont il soit fait mention dans l'histoire de la sorcellerie en France»; Caillet II, 6032.