EUR 50
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Ajouter au panierCouverture souple. Etat : Bon. "Paris, Grasset, Sans date [1928]. Couverture souple, 237 pp., [1] f. Légère marque au dos, plis en marge de la couverture. Non coupé. Édition à la date de l'originale (mention de 4e édition à la couverture). Ce roman d'inspiration cinématographique met en scène le quotidien des cheminots. ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ À MARGUERITE AUDOUX : A Marguerite Audoux En affectueux hommage, ce petit film Chef de file et théoricien pionnier de la littérature prolétarienne, Henry Poulaille défend une littérature composée "par et pour le peuple" c'est le titre de la 3e partie de son manifeste Nouvel âge de la littérature (1930), dans lequel il consacre plusieurs pages à Marguerite Audoux (p. 255-258). Les deux écrivains se seraient rencontrés en 1936 (Archives Marguerite Audoux). En plus d'assurer la gestion du service de presse aux éditions Bernard Grasset, chez qui il publie plusieurs romans, Poulaille dirige chez Valois la collection d'oeuvres prolétariennes "Les romans du Nouvel âge" ainsi que la revue Nouvel âge littéraire, renommée Nouvel âge. Il contribue en outre à plusieurs revues des "pages prolétariennes" dans lesquelles il promeut les auteurs issus du "peuple". Poulaille participe en 1935 à la création des Musées du soir, cercle littéraire, bibliothèque et salle d'exposition destiné aux ouvriers et employés de la région parisienne. Cet ouvrage fait partie du catalogue consacré à Marguerite Audoux que nous venons de publier en ligne, il est disponible sur note site internet. Cet ouvrage fait partie du catalogue consacré à Marguerite Audoux que nous venons de publier en ligne, il est disponible sur note site internet.". Signé par l'auteur.
Vendeur : Librairie-Bouquinerie Le Père Pénard, Lyon, France
EUR 16
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Ajouter au panier2e année - N° 75 - 22 août 1946 - revue illustrée - in-4 broché - 16 pages assez bon état (deux traces de plis (dans la largeur de la revue)).
Vendeur : Librairie-Bouquinerie Le Père Pénard, Lyon, France
EUR 20
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Ajouter au panier2e année - N° 84 - 24 octobre 1946 - revue illustrée - in-4 broché - 16 pages assez bon état (deux légères traces de plis (dans la largeur de la revue) - deux petites traces de frottement sur la couv.).
EUR 1 500
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Ajouter au panierParis, Gallimard, (20 juillet) 1926. 2 vol. (170 x 215 mm) de 333 p. et [1] ; 285 p. et [1] f. Brochés. Édition originale de la traduction française par Philippe Neel. Un des 109 premiers exemplaires réimposés sur vergé lafuma, celui-ci nominatif pour P. Guastalla (n° XXXVIII). « S'il fallait choisir un seul romancier, je choisirais Joseph Conrad. Chez Conrad, il y a quelque chose d'épique, on pense à lui comme à un homme qui a été partout, on pense à lui comme on pense à l'océan » : lorsque Jorge Luis Borges émet ce jugement, il a sans doute en tête Nostromo, paru en 1904 : le roman est sans doute l'un des plus puissants, des plus denses et des plus sombres de Joseph Conrad. Il est l'aboutissement d'un projet fou, qui coûta au romancier plus de deux ans d'efforts : décrire une république latino-américaine imaginaire - le Costaguana -, en lui inventant une histoire, une géographie, des institutions, des moeurs, un système économique, des classes sociales, et un enchevêtrement de tensions et de conflits plongeant le pays dans le chaos. Il figure à la 47? place dans la liste des cent meilleurs romans de langue anglaise du XX? siècle établie par la Modern Library en 1998 et son titre aura été utilisé en 1979 au cinéma : le Nostromo est le nom du navire-cargo où se déroule la totalité du film Alien, le huitième passager, réalisé par Ridley Scott, qui expliquera que « la manière dont un même événement et un même lieu peut affecter des personnes est un concept conradien », après avoir envisagé Leviathan comme nom du navire : « Alien est en ce sens comparable au livre Nostromo ». Bel exemplaire, provenant de la bibliothèque de Pierre Guastalla. Peintre, illustrateur et lithographe formé à l'Académie Ranson, il produisit près de 600 planches entre 1921 et 1968. Il est l'un des fondateurs de l'association La Jeune Gravure contemporaine, en 1929, et illustra de nombreux ouvrages. Bibliophile, il fut, dès le début des années 1920, un souscripteur des réimposés de la Librairie Gallimard.
EUR 200
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Ajouter au panierBelle lettre au peintre surréaliste et ami Félix Labisse (1905-1982) :Mandiargues le remercie de sa « Fille prodigue » (une huile sur toile peinte en 1943, représentant une femme nue irriguée par les branches dun arbre). Il ne lui téléphonera pas .puisque nous sommes daccord. Tu auras dans une dizaine de jours, le texte requis, et jy pense avec beaucoup de plaisir. Les deux films sont très bien. Cest le premier, de loin, que je préfère, car tes tableaux sont beaucoup plus photogéniques que tes amis. Il lui conseille daller voir .un film mexicain que lon présentait hier soir, Macario, aux Reflets. [réalisé par Roberto Gavaldón, Macario sorti en salles en 1960]. Il y a dans le même programme un court métrage sur les plantes carnivores qui ma émerveillé et qui rappelle ta peinture.Félix Labisse est un des peintres marquants de l'art fantastique du XXe siècle, appartenant à la féconde génération des Magritte, Delvaux, Dalí, Max Ernst, André Masson. À travers des sources d'inspiration multiples, mythologie antique, ésotérismes, histoire littéraire et picturale, Labisse a su donner des accents corrosifs à ses créations où dominent un sens certain de l'humour et une propension non dissimulée à lérotisme.« La Fille prodigue » se rapproche par son sujet de liconographie surréaliste, notamment de celle Magritte, dont Labisse était un proche. Cependant, la thématique de lunion de la femme et de la plante traitée dans son tableau fut un sujet souvent abordé par les poètes et peintres surréalistes. André Breton dans lAmour fou, dépeint la femme aimée au « teint rêvé sur un accord parfait de rouille et de vert : une fougère inoubliable » avec « ses cheveux en bouquet de chèvrefeuilles ».
EUR 8 000
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Ajouter au panierPas de couverture. Etat : Bon. "1951 - 1971. Pas de couverture, 198 p + 4 ff - 69 env. conservées. Quelques rares taches, quelques feuillets brunis. EXCEPTIONNELLE CORRESPONDANCE AUTOGRAPHE, amoureuse et littéraire, adressée à l'écrivain et cinéaste Nelly Kaplan. L'ensemble comprend 111 lettres et 1 télégramme, avec4 feuillets autographes concernant l'oeuvre de NellyKaplan. La correspondance couvre les dates 1954-1971. Dès les premières années de leur correspondance, Soupault adresse à Nelly Kaplan des missives enflammées dans lesquelles il réitère sa confiance en ses capacités exceptionnelles et la certitude qu'elle s'apprête à "signer sa vie". DEFENSE DE PLEURER SVP. Cette lettre est écrite pour vous soyez lucide. Nelly, [.] Je n'ai jamais dans ma vie admiré que deux êtres que je n'ai pas connus : Lautréamont et Rimbaud. J'ai compris, senti que vous étiez de la même qualité qu'eux. Soyez folle d'orgueil [souligné]. Bien sûr, je suis amoureux de vous, parce que vous êtes belle et merveilleusement jolie mais il y a autre chose. Quand je suis près de vous, je sais que la vie vaut la peine d'être vécue. Je vous en supplie ayez le courage de votre intelligence. Ne soyez pas faible vis à vis de vous-même. Vous n'avez le droit de pleurer que quand vous êtes dans mes bras. Il faut, tous les deux ensemble que nous soyons les plus forts. Je vous assure que je comprends très bien votre lassitude du cercle infernal. Mais, Nelly, vous allez vivre, triompher. Vous allez être la plus belle, la plus jolie, la plus parfumée, la plus élégante, la plus intelligente. Ce qui me fait du mal c'est que vous ne voulez pas comprendre que vous êtes une poète et que vous souffrez de tout." (s. d.) Ces références au "cercle infernal" parisien essaiment leur correspondance jusqu'en 1961. En effet, lorsque Nelly Kaplan rencontre Philippe Soupault en 1954, lors d'une exposition consacrée à Chagall, elle semble être la victime de "calomniateurs" et de "jaloux" ("ces gens hostiles, médiocres qui ne peuvent pas vous pardonner l'intelligence de vos yeux, votre grâce et votre beauté. [.] Je sais que tous ces salauds ne peuvent pas admettre que vous leur soyez supérieure" [12 décembre 1957]) contre lesquels Soupault l'encourage à lutter. En 1955, il écrit : "Je vous promets que je ne suis pas lâche. Il y a quelques années on m'a torturé à l'électricité. Je n'ai rien dit. Mais qu'on vous salisse, qu'on jette de la boue sur vous m'est intolérable. J'ai perdu ma lucidité et j'aurais dû écraser cet individu comme une sale punaise." (21 juin) Cette rage est versifiée dans son "poème pour Nelly", publié dans le premier numéro des Cahiers Philippe Soupault : Il faut que je tue quelqu'un ce soir ou quelques-uns ou même un grand nombre en série [.] On crache sur tout ce que j'aime sur votre beauté sur la pureté sur la vie que j'aime parce qu'elle vous ressemble. Chaque matin devant votre porte un tas d'ordures est amassé pour vous faire tomber Plus spécifiquement, Soupault s'inquiète des machinations d'une "dame en rose" : Je suis un idiot (du moins je l'espère) parce que j'ai de l'angoisse à cause de vous. La dame en rose est pour moi comme un cauchemar et une menace pour vous. Je ne supporte pas l'idée qu'elle peut vous atteindre. Retrospectivement j'ai eu des sueurs froides en pensant aux lettres oubliées, aux imprudences et à l'hystérie de cette folle meurtrière qui a osé vous toucher. Je vous promets (et vous le savez, mon amie chérie) que ce n'est pas par basse jalousie, ni même par haine que je vous écris de vous méfier. Il y a un danger contre lequel je veux vous protéger l'homme de la [conj. "Rome"] semble attirer ces étranges maléfices (nous en avons terriblement souffert tous les deux cette année). Il faut donc que nous soyons plus que jamais sur nos gardes.(25 août 1955) Et peut-être il y a-t-il en effet de quoi se faire du souci : Soupault est marié et Nelly Kaplan entretient en parallèle d'autres relations qui compliquent leur "amitié" : Surtout ne vous attristez pas de ces lettres méchantes. Cet homme est fou. Cette jalousie est certes inquiétante et je crois très douloureuse pour lui. Mais croyez vous que notre amitié qu'il doit sentir parce qu'il est très intuitif, dont il doit deviner avec ses antennes ce qu'elle a de vrai, de sincère et de fort ne lui donne pas de motifs (pas de raisons puisqu'il ne doit pas en avoir) de se torturer ? (4 octobre 1954) À cette période, Nelly Kaplan nourrit en effet une relation amoureuse avec le cinéaste Abel Gance, qu'elle documentera dans le double-ouvrage Et Pandore en avait deux ! - Mon cygne, mon signe. Source d'inquiétude pour Soupault, qui écrit : "Il me semble que, sentimentalement pour vous, ce qui compte le plus c'est l'admiration affectueuse (peut-être est-ce plus) que vous avez pour A. G." (s. d.). Ou encore, anxieux parce qu'Abel Gance ait cherché à obtenir son numéro de téléphone : Je suppose donc que G. cherche à savoir 1°) si je suis à Paris (et non pas dans le midi) 2°) veut me voir pour me parler de vous. Dans la seconde hypothèse je veux que vous m'envoyez d'urgence une lettre pour me dire ce dont je dois éviter de parler. (28 septembre 1955) Nelly Kaplan fait la connaissance d'Abel Gance en 1954, et devient son assistante. Au cours de leur collaboration, Soupault lui adresse ses encouragements lors de tournages parfois éprouvants. De nombreuses lettres lui parviennent ainsi à Zagreb, où elle travaille à Austerlitz : "Je sens que cette expérience vous déçoit et j'en suis navré. Je me doutais bien que l'atmosphère et l'entourage de ce film n'aurait rien de réjouissant mais je ne m'imaginais pas que ce serait aussi cafardeux." (14 novembre 1959) Il lui écrira également à Rome lors de la préparation du filmCyrano et d'Artagnan : "Je sens que le "climat" de Rome ne s'est pas amélioré et j'ai peur que vous soyez débordée par ce flot de bêtise, de méchancetés et de contradictions." (21 juillet 1962) À cette correspondance souvent torturée, Soupault mêle récits de la vie parisienne ("J'ai parlé avec. Signé par l'auteur.
Date d'édition : 1946
Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France
Membre d'association : ILAB
Manuscrit / Papier ancien Edition originale Signé
EUR 2 300
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Ajouter au panierPas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. PIAF, Édith (1915-1963) Lettre autographe signée « Pupuce » à Yves Montand
Metz, 5 avril 1946, 2 pp. in-4° à en-tête de l'Hôtel de Metz
Traces de pliures d'époque, petites taches
Pour une lecture plus aisée, nous avons rétabli une orthographe juste Tendre lettre d'amour de la Môme Piaf à son amant Yves Montand pendant sa tournée dans l'Est de la France avec Les Compagnons de la chanson « Mon chéri chéri chéri.
Voilà déjà quatre jours que nous sommes séparés, tu vois, plus que 4 jours et nous serons à nouveau réunis pour un long temps, mon tout petit, su tu savais comme tu me manques, c'est effroyable, et quand je pense que tu doutes de mon amour j'en suis [deux mots caviardés de sa main] stupéfaite. Es-tu content de ton film ? [Yves Montant venait tenir le rôle principal dans Les Portes de la nuit de Marcel Carné, sur un scénario de Jacques Prévert] Tout marche-t-il comme tu l'espère ? Moi pour mon travail je n'ai pas à me plaindre, le succès est exactement comme je le désire, et puis il y a une bonne ambiance, les compagnons de la chanson sont vraiment adorables avec moi et c'est en même temps un programme de classe, mon petit zoupinet [Odette Laure] fait un gros boum et j'en suis contente et pour elle et pour moi. Tu sais, je n'ai pu t'écrire les deux premiers jours car nous sommes arrivés le soir à huit heures et j'avoue que j'étais morte, le lendemain nous avions la radio, puis la répétition avec l'orchestre et la soirée et le lendemain départ à dix heures du matin, alors je me suis dis que mon petit homme comprendrait et ne m'en voudrait pas. Nous débutons à Nancy ce soir et j'ose espérer que tout marchera comme partout, j'ai un peu la trouille car j'ai fait une tournée avec qui tu sais et nous étions passés par Nancy, alors j'ai un peu peur d'une réaction, remarque, il y a une chose curieuse, quand j'arrive sur scène, les gens gueulent et je n'ai pas encore chanté, tu vois que ma réputation va loin hein ! Mon grand chéri donne moi des détails sur mon [sic : ton] film, as-tu été le voir ? Je voudrais bien savoir la réaction du public enfin on verra bien hein ? Les jours passent lentement tout de même, c'est long la vie par moment, mais ne soyons pas si pessimistes et ayons du cran ! Comment va notre chez nous ? Et toi ? M'aimes-tu toujours ? Moi, mon amour va chaque jour en grandissant. J'ai voulu te téléphoner hier mais nous sommes arrivés à six heures et comme tu m'as dit que l'on venait te chercher à six heures je n'ai pas appelé, d'autant plus qu'il fallait une heure d'attente, et puis à vrai dire je n'aime pas te téléphoner, tu es tout drôle et ça me fou le cafard, je ne suis pas là pour te prendre dans mes bras, pour t'embrasser alors te sentir loin et ne pouvoir rien faire quand je ne te sens pas heureux me rend malade. Dans tes lettres je te trouve tel que je voudrais que tu sois toujours, écris moi mon tendre aimé, écris moi les belles lettres que tu sais écrire. Je te quitte mon adoré et je te supplie de croire que je t'aime, que tu es ma seule raison de vivre, que sans toi ma vie est vide, que j'ai besoin de toi comme de ma respiration, laisse moi me réfugier dans tes bras et m'endormir avec tous mes rêves. 
Pupuce » Piaf et Montand se rencontrent en 1945 sur le tournage du film Étoile sans lumière. Elle a 30 ans et est déjà une immense célébrité. Lui, qui n'a que 24 ans et n'en est qu'à la genèse de sa carrière artistique, lui devra beaucoup. Selon sa folle générosité, la chanteuse couvre son nouvel amant de cadeaux, mais aussi de chansons qu'elle écrit pour lui. Elle le fait rencontrer tout ce que Paris compte de notoriétés, dont Cocteau.
Si Piaf se livre ici a de tendres déclarations d'amour pour Montand, comme pour peut-être se rassurer elle-même, ils n'en demeurent pas moins au crépuscule de leur relation. La Môme commençait déjà à fréquenter Jean-Louis Jaubert, membre-leader des Compagnons de la chanson, avec qui elle allait entamer une tournée américaine triomphante l. Signé par l'auteur.
Edité par Editions L'harmattan Jun 2024, 2024
ISBN 10 : 2336472430 ISBN 13 : 9782336472430
Langue: français
Vendeur : buchversandmimpf2000, Emtmannsberg, BAYE, Allemagne
EUR 16
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Ajouter au panierTaschenbuch. Etat : Neu. This item is printed on demand - Print on Demand Titel. Neuware -Jean-Luc Godard est un cinéaste à l¿¿uvre prolifique, notamment dans les années 1960 lorsqüil réalise en moyenne plus d¿un film par an. Cette ébullition artistique et créative est à interroger au prisme d¿un monde connecté, en mouvement et en conflits : un monde de Guerre Froide. Trois films, au c¿ur de cette décennie, rendent compte des différentes influences que reçoit et retranscrit le cinéaste à l¿écran. Avec Pierrot le fou (1965), Masculin Féminin (1966) et La Chinoise (1967), Jean-Luc Godard découvre et explore ce que signifie l¿engagement, l¿américanisation et le communisme. En proposant un cinéma qui refuse les dogmes des deux blocs de Guerre Froide, le réalisateur incarne un mouvement progressif d¿intérêt et de curiosité pour une troisième voie politique, à l¿image d¿une partie de la jeunesse dans la France d¿avant mai 1968.Books on Demand GmbH, Überseering 33, 22297 Hamburg 144 pp. Französisch.
Vendeur : AHA-BUCH GmbH, Einbeck, Allemagne
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Ajouter au panierTaschenbuch. Etat : Neu. nach der Bestellung gedruckt Neuware - Printed after ordering - Jean-Luc Godard est un cinéaste à l¿¿uvre prolifique, notamment dans les années 1960 lorsqüil réalise en moyenne plus d¿un film par an. Cette ébullition artistique et créative est à interroger au prisme d¿un monde connecté, en mouvement et en conflits : un monde de Guerre Froide. Trois films, au c¿ur de cette décennie, rendent compte des différentes influences que reçoit et retranscrit le cinéaste à l¿écran. Avec Pierrot le fou (1965), Masculin Féminin (1966) et La Chinoise (1967), Jean-Luc Godard découvre et explore ce que signifie l¿engagement, l¿américanisation et le communisme. En proposant un cinéma qui refuse les dogmes des deux blocs de Guerre Froide, le réalisateur incarne un mouvement progressif d¿intérêt et de curiosité pour une troisième voie politique, à l¿image d¿une partie de la jeunesse dans la France d¿avant mai 1968.