Edité par Leiden Elzevier, 1635
Vendeur : Heinrich Heine Antiquariat oHG, Düsseldorf, NRW, Allemagne
EUR 200
Autre deviseQuantité disponible : 1 disponible(s)
Ajouter au panier12 Blätter (incl. gestochenem Titel, sowie 1 Portrait und 5 ganzseitige Holzschnitt-Tafeln), 2 (mehrfach gefaltete, gestochene) Karten, 561 Seiten, 1 (mehrfach gefaltete, gestochene) Karte, 35 Blätter (Index). Mit fünf durchgezogenen Pergamentstreifen gehefteter zeitgenössischer Pergamentband mit überstehenden Schutzkanten. (13,1 x 8 cm, bzw. 12,7 x 7 cm; Buchblock: 4,1 cm) 12°. - ". nihil praeter animum bene de Republ. litteraria merendi volumus aestimari . B. & A. Elsevirii" (Bl. 2 verso dieser Ausgabe: . nichts weiter im Sinn, als die literarische Republik mit schätzenswerten Ausgaben zu ehren .) Diese Ausgabe gilt als das Meisterstück der Elzevire, " . un des plus enviables joyaux qui puissent orner l'écrin d'un bibliophile ." (Willems a.a.O.), hier eine bisher unbeschriebene Variante - Bérard S. 67 f. ("Bon. et Abr. Elzévir ont dédié cette édition à Jacob Skytte. Ils l'ont réimprimée trois fois sous la même date. La première de ces impressions se reconnaît, indépendamment de sa beauté, à deux têtes de buffles placées au commencement de l'épitre dédicatoire et du texte des cimmentaires, et à une faute de pagination qui consiste en ce que la page 149 est numérotée 153. Cette première édition est certainenment une des plus belles des Elzévirs. La seconde impression, sous la même date, est encore assez belle, quoique moins que la première. Le buffle se trouve en tête des comentaires, mais on lui a subtitué une autre vignette au commencement de l'épître dédicatoire; il n'y a point de faute de pagination; et enfin l'index est imprimé en petit caractère romain, tandis que dans la précédente et dans la suivante il est en caractères italiques. Cette seconde impression a été faite sur un papier plus grand, et les pages ont 37 lignes au lieu de 35 qu'elles ont dans la première. La troisième impression de 1635 se reconnaît aisément à ce qu'on n'y a point employé la tête de buffle, et à ce qu'à la fin de l'épître dédicatoire le mot generoso est divisé en deux parties. Il existe encore deux éditions du même auteur, données par les Elzévirs en 1661 et en 1675, mais elles ne sont nullement recherchées. Les plus beaux exemplaires de la bonne édition du César de 1635 exposés en vente depuis quelques années ne portent pas tout-à-fait 4 pouces 9 lignes [=13 cm, CS], et leur valeur est d'environ 60 à 80 francs. Un très-bel exemplaire, haut de 4 pouces 10 lignes [= 13,1 cm, CS], et qui se trouve à la Bibliothèque Royale, a été poussé jusqu'à 160 francs à la vente de Gouttard."). Pieters 162 auf S. 117 ("Il y a trois éditions avec cette date, dont celle reconnue comme originale, est sans contredit un des plus Elseviers qui existent: elle a 12 ff. limin. non cotés, y compris le titre qui est gravé, 561 pp. de texte et 70 pp. d'index. outre 3 petites cartes géogr., qui se placent ordinairement dans les limin. entre les signat. * et **. Elle se reconnait au masque de Buffle qui se trouve en tête de l'épitre dédicatoire; en outre les pages 149 et 335 sont cotées 153 et 345: ces fautes n'existent pas dans les réimpressions et la tête de Buffle de la dédicace y est remplacée par d'autres fleurons. Les deux réimpressions se distinguent facilement l'une de l'autre: celle que je suppose la première et qui me semble à préférer, a la même pagination que l'édition originale, la Syrène s'y trouve en tête de la dédicace, la page 238 y est cotée 248, et son index est en caractères italiques; tandis que dans l'autre réimpression c'est un fleuron plus petit qui précède la dédicace, la pagination, au lieu de partir du texte, y commence après le 4e feuillet de liminaires et son total n'est que de 526 pp. au lieu de 561: mais cela provient principalement de ce que ses pages ont 37 lignes au lieu de 35; enfin son index est renfermé en 17 ff. et imprimé en caractères ronds."). Siennicki S. 13 [unklar ob erster, oder zweiter Druck ! CS]. Willems 420 ("Il arrive assez souvent qu'on nous demande quelle est à notre avis la plus parfaite des productions elzeviriennes, le principal chef-d'oeuvre entre tous ceux qui ont immortalisé le nom des grands typographes néerlandais. Trois ou quatre articles, le César et le Pline de 1635, le Virgile de 1636, l'Imitation sans date, méritent d'être classés hors de pair et de se partager les suffrages. Quant à nous, nous n'hésiterons pas à décerner la palme au César. La beauté de l'impression, en caractères neufs, la netteté du tirage, le goût qui a présidé au choix des ornements, la finesse et la solidité du papier, l'eureuse dimension du volume, la pureté et la correction du texte, tout concourt à faire du César de 1635 un des plus enviables joyaux qui puissent orner l'écrin d'un bibliophile. Ajoutez cette circonstance qui a bien son prix, c'est que tous ces soins ont été prodigués à une oeuvre qui est elle-même un modèle accompli en son genre, et que tout homme qui aime les lettres tient à honneur de posséder. Ce qui précède s'applique bien entendu à l'édition originale, laquelle se reconnaît à la tête de buffle en tête de la dédicace et de la page 1, et aux pages 149, 335 et 475, cotées par erreur 153, 345 et 375. . Il y a deux réimpressions sous la même date. La première, qui est admirablement executée, copie ligne pour ligne l'édition originale; elle se reconnaît à la sirène qui est en tête de l'épître dédicatoire, et à la page 238 cotée par erreur 248. La seconde réimpression, très inférieure à la précédente, n'a que 4 ff. limin., 526 pp., à 37 lignes à la page (au lieu de 35, dans les deux premières impressions), et 17 ff. d'index. La pagination, au lieu de partir du texte, commence après le 4e f. limin. Les Elzevier d'Amsterdam ont reproduit ce César en 1661 et en 1675, d'après la troisième édition de Leyde."). Brunet (Millot) S. 92 ff. (". Nous faisons une grande différence entre les deux premières éditions et la troisième, mais à peine pouvons-nous en apercevoir une entre les deux premières. Nous les maintenons également au prix de 50 à 75 fr. ."). Vergl. Minzloff S. 31 (die Variante m.